Pour David Hallyday, « Il y a des plaies qui ne se ferment jamais »

Sorti l’année passée, le dernier album de David Hallyday, « J’ai quelque chose à vous dire », vient de passer le cap des 100 000 ventes et est donc devenu disque de platine. Peu bavard, préférant la musique aux grands discours, le chanteur s’est toutefois confié timidement à BFM TV.

Dès les premières phrases, il lance : « Il y a des plaies qui ne se ferment jamais. Mais ce métier-là, et le fait de créer, et de ressortir ses sentiments comme ça, ça nous protège quand même beaucoup. Ça m’a protégé beaucoup tout au long de ma vie et ça continue encore aujourd’hui ». La musique est donc pour lui le moyen de s’exprimer, comme dans « Ma dernière lettre ».

Et quand on parle de David Hallyday, on ne peut s’empêcher de penser à la bagarre concernant l’héritage de son père, l’opposant avec Laura Smet à Laeticia Hallyday. Récemment, un jugement a été pris en faveur des aînés de Johnny : le tribunal de Nanterre s’est en effet déclaré compétent pour trancher la question de la succession du rockeur, alors que Laeticia espérait que la justice américaine gère le dossier. « Je n’appelle pas ça un soulagement, parce que rien n’est un soulagement de ce côté-là. Se battre contre nature, ce n’est pas quelque chose de plaisant du tout  », explique toutefois David.