Quentin Mosimann: «J’aurais mieux fait de la fermer de temps en temps»
Quentin Mosimann, rebaptisé Mosimann tout court, revient avec un album « non étiqueté ».
Douze ans déjà que Quentin Mosimann quittait en vainqueur le château de la Starac où il avait brillé par son talent comme par sa personnalité résolument atypique, touchante autant que, parfois, énervante. Trois albums, un EP et un passage par l’édition belge de « The Voice » plus tard, le trentenaire est toujours debout, même si son parcours de chanteur et de DJ n’a rien eu d’un long fleuve tranquille. Rebaptisé Mosimann, il explique comment, quand on ne lui donnait plus la parole, il a mis en boîte les chansons des autres, de Slimane à Grand Corps Malade, et comment, paradoxalement, elles lui ont permis de se trouver. Enfin libre et définitivement « Outside The Box ».
L’artiste que vous nous révélez à la faveur de cet album – pas tout à fait le même, pas tout à fait un autre – vous aviez conscience de le porter en vous depuis toujours ou, vous aussi, vous avez récemment fait sa connaissance ?
