Séance de questions réponses avec Sacha Daout, journaliste RTBF
Depuis deux mois, il nous éclaire sur la crise sanitaire avec « Questions en prime ». Une prestation appréciée.
Vous arrivez à 60 émissions non-stop : que vous ont-elles appris de la crise et des Belges ?
Ce que j’ai appris, et dont la RTBF a bien conscience, c’est que face à l’actualité, quelle que soit son ampleur, les gens ont besoin et veulent poser des questions. C’est important parce qu’ils nous ramènent aux vraies préoccupations des citoyens. Je le dis souvent : je n’ai aucun problème à être le porte-micro du téléspectateur. Ce n’est pas dévalorisant, bien au contraire. Avec « Questions en prime », on a renforcé ce service. On veut donner la parole intelligemment aux internautes. J’ai constaté avec bonheur qu’il y avait peu de déchets dans ce qui nous était demandé : la qualité et la pertinence étaient assurées, au-delà même de nos espérances. On a retrouvé en fait le même niveau que « À votre avis » le mercredi soir.
