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Quand la fabrication de grands crus tourne au vinaigre (vidéo)

Sur le marché des grands crus, les faussaires sévissent. Une affaire retentissante avait sonné l’alerte. Depuis, les domaines luttent contre et des experts scrutent les bouteilles pour débusquer les contrefaçons.

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Les grands crus ne connaissent pas la crise. La maison de vente aux enchères belge Sylvie’s présente actuellement sa sélection d’automne composée de près 3.500 lots. Les estimations démarrent dès 20€ et montent jusqu’à… 13.000€ la bouteille. La plus chère est une Romanée Conti millésime 2000. L’entreprise anversoise, soucieuse de son image, veille au grain pour proposer des flacons expertisés avec minutie. Et éviter le scandale d’une bouteille contrefaite. Les enjeux sont colossaux, certains amateurs de grands crus au portefeuille gonflé n’hésitant pas à dépenser des sommes folles pour s’adjuger des bouteilles qui seront bues, ajoutées à une collection ou revendues plus tard par ces spéculateurs. En 2018, une Romanée Conti 1945 s’est arrachée à près de 500.000€.

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