Vous accommodez les contes de notre enfance à votre sauce : parce qu’il faut de la dérision, surtout à notre époque ?
Je pense, oui. Je suis parti du constat que ces contes et ces fables, que j’ai beaucoup lus dans ma jeunesse, font très peur. La dérision sert ici de vaccin contre la bêtise, l’inquiétude, la mort, la maladie. Le rire désamorce mes peurs depuis toujours.
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