Quatre questions à Adrien Joveneau sur « Les Belges du bout du monde »
35e saison en radio, 15e en télé ! L’animateur salue toujours ceux qui ont largué les amarres. Des compatriotes heureux de leur choix.
Que nous disent ces Belges du bout du monde ? Que le rêve n’a pas de frontière ?
Oui, qu’il ne faut pas mettre nos rêves en quarantaine même si nous le sommes un peu en ce moment. Nos rêves doivent continuer. Il ne faut pas renoncer. Voir la lumière au bout du tunnel. Tous ces Belges sont hyper inspirants et ils nous montrent que la vie peut être belle, même si elle est difficile.
Qu’ont-ils de plus que nous, les sédentaires ?
Je crois qu’ils ont le panache. Ils ont le culot et le talent de réaliser leurs rêves. Ces gens sortent de leur zone de confort mais ils ne se disent pas que l’herbe est plus verte ailleurs. Ce n’est pas le cas. Ils me racontent chaque fois des parcours difficiles, que la misère n’est pas moins pénible au soleil. C’est souvent plus compliqué mais au moins les horizons sont plus larges. Même s’ils se sont parfois plantés, ils ont appris, grandi, vécu.
