Quarante ans après les grandes heures de SIS (Station Indépendante Satellite) à Bruxelles, vous la relancez en digital : pourquoi ce retour ?
Parce que nous pensons qu’il y a une place pour la nouvelle SIS sur le Net. Des études montrent qu’en Flandre, 28 % des auditeurs écoutent la radio en digital, 25 % en Wallonie. On relance donc la marque avec du contenu. En 1980, nous formions à la base une équipe 50/50, trois...