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«Matière grise»: haut potentiel de souffrance

La série « HPI » ne doit pas masquer une difficile réalité.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

HPI, le grand public connaît désormais cette expression à la suite du vif succès de la série française conduite par Audrey Fleurot. « HPI » dope les audiences de la RTBF avec, en apothéose, un record de 510.000 téléspectateurs pour les deux derniers des huit épisodes (40 % d’audience en moyenne). Même accueil sur TF1 où l’on dépasse les 10 millions, du jamais-vu depuis 15 ans.

« 160 de Q.I. », siffle son héroïne devant des flics médusés qu’elle aide à y voir clair dans leur enquête. Fabuleux, oui mais là, on nage en pleine fiction. Dans la réalité, nous apprend « Matière grise », la vie d’un Haut Potentiel intellectuel n’est pas si éclatante. Souffrances, incompréhension, solitude sont le lot de ceux que l’on imagine trop souvent premiers de classe sans souci.

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