À la télé ce soir : « Walter » et « Démineurs » (vidéos)
Voici le programme à ne pas manquer ce soir.
« Walter », à 20h35 sur TIPIK
Une nuit, Goran et son équipe de braqueurs amateurs, décident de dévaliser une bijouterie située dans un supermarché. Alors que le plan semble se dérouler sans accroc, ils voient débarquer Walter, un ex-chef de guerre africain devenu vigile, qui prend son travail un peu trop à coeur...
« Démineurs », à 20h sur Club RTL
A Bagdad, le sergent-chef James vient d'être nommé à la tête de la meilleure équipe de déminage de l'armée américaine. La mission de ses hommes est l'une des plus dangereuses : désamorcer des bombes. James surprend deux de ses subordonnés, Sanborn et Eldridge, par ses méthodes peu orthodoxes...
Les étoiles de Dominique Deprêtre
« Good Morning, Vietnam », à 21h00 sur Arte – 4 étoiles
de Barry Levinson (1987)
Them, les Beach Boys, Frankie Avalon, les Marvelettes, Wilson Picket, James Brown, la trompette d’Herp Albert, Marta and The Vandellas et bien sûr le fameux « What a wonderful world » de Louis Armstrong composent le fabuleux « Best of » de la première moitié des « sixties » pas si « golden » que ça, si on s’en réfère à ce portrait d’une déjà « sale guerre » évoquée par le DJ Robin Williams confronté à un supérieur inconditionnel de polka ! Un ovni à sa sortie. Un immense classique depuis.
« Démineurs », à 20h00 sur Club RTL – 4 étoiles
de Kathryn Bigelow (2008)
Une pluie d’Oscars et des recettes confidentielles : voilà le verdict pour le moins contrasté pour un film d’exception au budget (heureusement) réduit, qui confirme qu’il n’est jamais facile ni – davantage encore – de bon ton d’évoquer une « sale guerre » – décidément, c’est la soirée… – comme celle d’Irak cette fois.
« Pouic-Pouic », à 21h05 sur C8 – 3 étoiles
de Jean Girault (1963)
Coécrite par Jacques Vilfrid, la pièce intitulée « Sans cérémonie » où Louis de Funès jouait le majordome – rôle repris par Christian Marin – n’avait pas eu de succès dix ans plus tôt. « Fufu » en fit un triomphe à l’écran grâce au futur réalisateur des « Gendarmes » qui lui offrait la tête d’affiche au côté de Jacqueline Maillan. La carrière du plus grand acteur comique de l’histoire du cinéma français venait d’enfin décoller. Une sorte d’« Oscar » avant la lettre.
« Venise n’est pas en Italie », à 21h05 sur France 2 – 2 étoiles
d’Ivan Calbérac (2019)
L’auteur a d’abord testé son récit en librairie et au théâtre, ce qui est assez singulier pour un « road movie » Le couple formé par Benoît Poelvoorde et Valérie Bonneton donne le… ton, mais on n’est pas que dans la grosse farce : l’ouvrage se distingue par son émotion et la révélation de la face cachée de la Cité lacustre.
de Nick Cassavetes (2014)
Où va-t-on si même le fiston pourtant doué du grand John et de Gena Rowlands cède à la mode de la comédie pseudo-romantico- féministe US ? Dans la pénible foulée de « Sex and the City », un brol de plus avec heureusement en tête d’affiche trois belles pépées – Cameron Diaz, Leslie Mann et Kate Upton – face au Danois Nikolaj Coster-Waldau qui joue le Ravachol de service, escroc et coureur de jupons réunis.