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Haro sur la graisse abdominale

Dangereuse à tous points de vue, elle est surtout le reflet de la vie que l’on mène. Nos conseils pour s’en débarrasser.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Le lien entre l’abus de consommation de graisses alimentaires (et de sucre qui en produit) et de nombreuses maladies – dont celle d’Alzheimer – est désormais bien démontré. Si les dépôts de graisse sous-cutanés – qui se mettent entre la peau et la sangle abdominale – ne sont pas dangereux pour la santé, il n’en est pas de même pour la graisse viscérale qui s’accumule plus profondément, entre les muscles et les organes abdominaux… « Il faut savoir que 1 kg de gras équivaut à 9.000 kilocalories, nous explique le Dr Youssef Mourabit, gastroentérologue à l’Hôpital Erasme. Jusque dans les années 90, on a pensé que le rôle de la graisse sous-cutanée et de la graisse abdominale n’était que de stocker de l’énergie, via la consommation directe de gras ou la transformation des hydrates de carbone. Puis, on s’est aperçu que les deux jouaient aussi un rôle endocrinien en sécrétant des molécules qui vont agir non seulement dans les organes concernés, mais ailleurs dans le corps.

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