Cali: «Les anges partis trop tôt, ce sont mes parents»
Dans son troisième roman, le chanteur et auteur Cali traverse l’amour naissant, enfoui, maudit et renaissant. Bruno, le narrateur, star déchue du rock’n’roll, lui ressemble furieusement. Sa vie est parsemée de rencontres avec des anges.
Votre roman s’ouvre sur une histoire d’amour fulgurante, brève et intense. L’amour est clairement le fil conducteur de ce livre.
C’est le fil conducteur de la vie ! Le protagoniste croit en la pureté de l’amour. Mais la vie va le faire sombrer, il devient aigri et mauvais, il se déteste lui-même, il ne se respecte plus. Il finit par commettre les pires choses avant de retrouver la lumière de la vie. J’avais envie que l’on prenne la main de ce garçon. Le soir en me couchant, je ne savais pas où j’allais mais il me tardait de reprendre la plume et de redémarrer l’histoire.
Bruno, le narrateur, se rapproche de vous. Quelle part de vous a-t-il et quelle part de lui avez-vous ?