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Mickaël Hers: «Je veux qu’on se love dans mes films comme on se love dans une chanson»

« Les passagers de la nuit », la balade mélancolique de Mickaël Hers dans le Paris des années 80.

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Le thème des familles de circonstance semble parcourir votre filmographie…

Je voulais dresser le portrait d’une femme et d’une mère après une séparation. Dans le film, Elisabeth (Charlotte Gainsbourg, ndlr) se reconstruit en ouvrant son cercle familial à une jeune inconnue, Talulah (Noée Abita). Cette idée du lien, de la prise en charge par chacun d’une part des doutes et de la fragilité des autres au sein d’une famille ou d’une génération, ça me touche beaucoup. Tous ces éléments se rencontrent dans une plongée vers les années 80, qui sont celles de mon enfance. On dit souvent qu’on est de son enfance comme on est d’un pays. J’ai essayé de restituer les sensations que m’inspire cette période grâce aux couleurs et aux images que j’avais en tête.

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