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L’affaire Jubillar: chronique d’un fait divers annoncé

Pour comprendre la disparition de Delphine Jubillar et encore plus les accusations qui pèsent contre son mari Cédric, emprisonné, il faut plonger dans les racines d’un couple aux sombres facettes.

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 6 min

Lundi 4 juillet, le couperet tombe : Cédric Jubillar reste en prison pour six mois supplémentaires. La justice française a confirmé sa détention, déjà entérinée le 13 juin par le juge des libertés, malgré l’appel interjeté par les avocats du peintre-plaquiste de 34 ans, soupçonné d’avoir tué sa femme Delphine, disparue du domicile conjugal de Cagnac-les-Mines, commune du Tarn, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Voilà plus d’un an que Cédric Jubillar vit au sein de la maison d’arrêt de Seysses, lui qui clame son innocence depuis le début de l’affaire. En juin 2021, après plusieurs mois d’enquête, il avait été mis en examen pour homicide volontaire sur conjoint. Son maintien en détention, au long de ces longs mois, a toujours ulcéré ses avocats. « Manifestement, la justice française a un gros problème avec la présomption d’innocence. Cédric Jubillar vient allonger la cohorte de ceux qui ont à pâtir de cette gestion de la détention provisoire. (…) Ce dossier est vide, il n’y a aucun élément de preuve.

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