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George Clooney a un ticket avec Julia Roberts!

L’acteur retrouve sa complice pour une cinquième collaboration dans « Ticket to Paradise », une comédie légère où il peut cabotiner à foison. Amis dans la vraie vie, George et Julia sont prêts à tout pour gâcher le mariage de leur fille. Interview décalée.

Temps de lecture: 5 min

Ses fans n’en dormaient plus depuis des jours, George Clooney est de retour à l’écran ! Et pour l’occasion, il retrouve sa complice Julia Roberts : ils ont participé à cinq films ensemble ! L’acteur le plus sexy de sa génération s’était fait un peu discret depuis quelques années, lui qui fut omniprésent la décennie précédente, que ce soit au cinéma, à travers une avalanche de films et autant de succès commerciaux, ou à la télévision, à travers ses géniales publicités Nespresso à l’impact mondial. Pour rappel, en 2014, il s’est marié avec Amal Alamuddin, une brillante avocate libano-britannique spécialisée en droit international. Le 6 juin 2017, Amal Clooney donnait naissance à des jumeaux : une fille, Ella, et un garçon, Alexander. Le couple s’en est fort logiquement beaucoup occupé et puis, la pandémie mondiale de covid est passée par là.

Le 3 juin dernier, George Clooney était repéré par le « Daily Mail » sur la Côte d’Azur. Après le lac de Côme où il possède toujours une villa, l’acteur âgé de 61 ans est tombé amoureux du Sud de la France. Peut-être inspiré par son grand pote Brad Pitt, qui possède toujours le domaine Miraval en Provence, George avait acheté en mai 2021 le domaine viticole de Canadel à Brignoles dans le Var. Le « Daily Mail » croyait également savoir que l’acteur était un habitué du restaurant La Colombe d’Or à Saint-Paul-de-Vence. Des paparazzis l’avaient également surpris en train de déjeuner sur la terrasse du restaurant Le Plongeoir près du port de Nice.

Plus récemment encore, le 27 septembre dernier, le couple a été photographié dans une rue de New York. George et Amal étaient en route pour un restaurant où ils allaient fêter leurs huit ans de mariage. « Huit ans ! Et ils disaient que ça ne durerait pas… », déclarait-il trois jours plus tôt dans un show télé (Entertainment Tonight). Car l’acteur est en promo pour son dernier film, une comédie légère qui ne révolutionne pas le genre, mais qui nous permet de retrouver un Clooney plus complice et plus cabotin que jamais avec Julia Roberts dans une cinquième participation commune…

L’interview

Qu’est-ce qui vous a décidés à accepter de rejouer ensemble ?

Julia Roberts : L’opportunité de voir George tomber pathétiquement amoureux de moi, et de lui montrer pendant deux heures de film que je suis passée à autre chose (rires) ! Non, en toute honnêteté, j’ai été mordue par le simple fait de pouvoir jouer aux meilleurs ennemis du monde avec George. On commence à couteaux tirés et notre petite guéguerre se transforme ensuite en jeu de manigances.

George Clooney : Pardon ? C’est l’histoire d’un pauvre type sans défense faisant face à une horrible femme. Il ne peut plus la supporter, surtout quand il réalise qu’il est un meilleur parent qu’elle. C’est mieux résumé ainsi, non ?

George, en quoi le rôle de David vous a-t-il emballé ?

G.C.: Pour moi, c’était clairement la chance de jouer avec la reine de la comédie de situation, et la reine des comédies romantiques en prime. Mais cette fabuleuse actrice n’était pas libre, ils ont appelé Julia ! (Rire)

J.R. (hilare) : OK, c’est à ce jeu-là qu’on joue… Je le sentais venir en plus, mais j’ai baissé la garde en espérant que tu dises enfin quelque chose de profond !

Vous êtes amis depuis de nombreuses années…

G.C.: Pas du tout ! Mais on est acteurs, donc on fait bien semblant de toute évidence…

J.R.: On s’est rencontrés pour tourner « Ocean’s Eleven », et l’entente a été instantanée.

G.C.: On s’est assis avec Steven Soderbergh (le réalisateur de « Ocean’s Eleven », ndlr) sur le sol du casino où nous allions tourner le film, et on s’est raconté des blagues pendant cinq heures ! Tout est là, on a toujours trouvé ça facile de se rencontrer. C’est une vraie chance, et on peut s’y accrocher, ça ne change pas avec le temps. Pour « Ticket to Paradise », on s’est appelés après avoir reçu le scénario, et on s’est directement dit que ça ne marcherait que si l’autre était dans le coup. Coup de bol, nos agendas nous le permettaient. C’est amusant de bosser avec de bons amis… Et Julia aussi bien sûr (rires) !

J.R.: Tu fais le beau, mais on sait tous les deux que tu blagues parce que tu angoisses à l’idée qu’on se sépare. Je monte dans un avion dans quelques heures, et tu prétends déjà que ça ne te perturbe pas. Mais un de ces jours, je te croirai, et là, qui fera le malin ?

C’est votre cinquième duo de cinéma. Votre dynamique de jeu évolue-t-elle avec le temps ?

J.R.: J’aimerais vous dire qu’on travaille à la sueur de nos fronts, mais on se connaît vraiment de mieux en mieux, ça rend les choses plus simples.

Le film se déroule dans un décor paradisiaque. Comment le tournage s’est-il passé ?

G.C.: On a tourné en Australie, et là-bas tout est gigantesque. En gros, tout est beau, mais tout peut te tuer. Tu vois un coquillage ou une gentille petite grenouille sur ton chemin… Eh bien, pas touche !, et bienvenue en Australie (rires) ! Mais blague à part, on a profité des plages et de la météo. Le film s’appelle « Ticket to Paradise » après tout.

J.R.: Peut-être que la suite s’appellera « Ticket to the Hospital » !

Ol Parker a affirmé qu’il avait écrit le film pour vous deux, et qu’il ne l’aurait jamais réalisé sans vous…

G.C.: Ce qu’il ne vous a pas dit, c’est qu’il nous a convaincus grâce à un chantage impliquant des photos compromettantes (rires).

Comment s’est passé le travail avec lui ?

J.R.: Ol est délicat, drôle, confiant et courageux. En dehors du chantage bien sûr (rires) ! Comme vous pouvez l’imaginer, notre casting était très pro, mais on avait tendance à vite nous éparpiller en conversations et en plaisanteries. Ol nous a tous compris individuellement, et nous a guidés avec une vision claire.

G.C.: La vérité, c’est qu’on n’aurait pas pu rêver d’un cadre plus agréable. Et c’est à Ol qu’on le doit. Il n’y a pas eu un seul mauvais jour sur le plateau, et c’est un constat assez rare pour être souligné.

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