Vincent Niclo: «Il n’y a rien que je déteste plus que les limites»

On l’a connu parfois latin, parfois à la ferveur rouge, toujours romantique. Pour ce nouvel opus, Vincent Niclo, 48 ans, nous entraîne de Brest à Lorient et révèle toute la ferveur de son âme celte, de bagad (ensemble de type orchestre, NDLR) en cornemuses lancinantes. Quand le sud rencontre le nord et révèle l’incroyable chaleur de ces airs qu’on aime depuis toujours, sans jamais les avoir entendus interprétés de la sorte, avec toute la puissance, toute la ferveur, d’un véritable « Opéra celte ».

S’agissant de vous, de votre voix, de votre touche latino immédiatement reconnaissable, parler d’« Opéra celte » semble presque un contre-emploi.