Joe Bel, une affaire de famille
La Lyonnaise revient avec un second album pop folk, où elle explore ses origines et s’interroge sur la notion de transmission.
Vous revenez avec ce second album, assez différent du précédent, sans toutefois nous dérouter complètement…
J’ai suivi mes envies. Il y a toujours un enjeu particulier avec le deuxième album ; il y a cette volonté de montrer qu’on est bien là, qu’on mérite l’attention reçue avec le premier, et l’envie de présenter de nouvelles choses. J’avoue que j’ai écrit quelques chansons sans y penser, tout me venait instinctivement. Ce n’est qu’après que je me suis dit que j’avais la matière pour un album. Avoir fonctionné comme cela fait que je n’étais pas trop stressée (rires). Et puis, j’ai pris le temps pour le réaliser, plusieurs années.
Est-ce le Covid et votre deuxième enfant qui vous ont inspiré le fil rouge de l’album : la famille ?