Bernard Haitink s'est éteint le 21 octobre 2021. Dans ce documentaire, le chef d'orchestre revient sur les grands moments de sa longue carrière en compagnie de l'animateur de radio et de télévision néerlandais Hans Haffmans.
Amalia Rodrigues a été l'ambassadrice dans le monde entier du fado, chant portugais passionné, nostalgique et tragique, héritage de musiques brésiliennes et africaines.
Un florilège d'extraits musicaux, une façon différente et extrêmement variée de découvrir la musique, les interprètes et les orchestres.
Le comte Almaviva, grand d'Espagne, est épris de la belle Rosine, que garde jalousement sous son toit son austère tuteur, le docteur Bartolo. Après une sérénade à la belle, Almaviva rencontre l'homme à tout faire de la ville, le rusé barbier Figaro. Ce dernier l'assure de sa compréhension et de son soutien et se charge de faire passer un billet à la belle. Cependant, Bartolo confie à son ami, le maître de musique Basilio, qu'il soupçonne Almaviva de se trouver en ville et d'être secrètement amoureux de sa filleule. Basilio lui conseille alors de faire éclater un scandale en recourant à une arme imparable, la calomnie...
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Appartenant encore à la période polonaise du compositeur, ce concerto fut écrit juste avant l'exil et exécuté publiquement à Varsovie le 11 octobre 1830. On considère cette pièce comme une oeuvre de jeunesse, insuffisamment aboutie, mais portant cependant la marque d'un génie propre.
Composé par Beethoven en 1806, à peu près en même temps que sa quatrième symphonie, de son concerto pour violon et de sa sonate Appassionnata, le Concerto n°4 a été joué deux fois seulement du vivant de Beethoven.
Avec son ensemble K, le chœur Sequenza 9.3 et la violoniste Manon Galy, Simone Menezes parcourt l'Italie et invite à découvrir les aspects transcendants de la musique.
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Le ballet du Kremlin incarne avec brio les contes des 1001 Nuits sur une chorégraphie d'Andrey Petrov et une musique de Fikret Amirov.
Au programme : "Ouverture de l'Opéra "Koroglu"", de Uzeyir Hajibayli ; "Concerto no. 2 pour tar et orchestre", de Haji Khanmammadov ; "Symphonie à la mémoire de Nizami Ganjavi ", de Fikret Amirov ; "Symphonie no. 4", de Arif Melikov.
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Au programme : Oeuvres de Manuel de Falla : "Nuits dans les jardins d'Espagne" ; "L'Amour sorcier" (version 1925) ; "Interlude et danse de 'La Vie brève' ; "Le Tricorne" (Suites 1 et 2).
"La musique a trop souvent rêvé ; nous voulons maintenant nous réveiller. Nous étions des somnambules ; nous voulons devenir des rêveurs éveillés." La phrase du philosophe Nietzsche figure en exergue de la partition librement adaptée de son livre. Mais Richard Strauss, qui composa l'oeuvre en 1896, se défendit d'en avoir fait une lecture philosophique. Un vaste tableau de l'évolution humaine d'après le philosophe, de l'aube de l'humanité au surhomme, voilà ce que le compositeur peignit en huit tableaux, hauts en couleur, imposants, grandioses. Le livre était d'une poésie délicate et profonde, la partition en restitue la couleur, à travers une formation d'une grande diversité.
Donné pour la première fois le 3 mars 1899 à à Francfort-sur-le-Main sous la direction de Richard Strauss lui-même, le poème symphonique "Une vie de héros". Il inaugure une série d'oeuvres qui ne sont plus basées sur un prétexte littéraire.
Inspiré de "Don Quichotte", de Cervantes, "Don Quixote", op. 35 est un poème symphonique de Richard Strauss, pour violoncelle, alto et grand orchestre.
Singulière et évocatrice, la symphonie alpestre fut composée par un Strauss alors absorbé dans une série de pièces lyriques. Construite sur le modèle d'une symphonie en quatre mouvements, elle ressemble pourtant fort à un poème symphonique décrivant avec images et couleurs une journée en montagne. Si Herbert von Karajan ne dirigea cette oeuvre pour la première fois qu'à soixante-quinze ans, c'est que l'exécution d'une telle partition nécessite des moyens pour le moins inhabituels, cent trente-sept instruments incluant une éolienne, une machine à tonnerre, des cloches à vaches ou encore un orgue !
Au programme : Oeuvres de Georg Friedrich Haendel : "Sonate en trio" en do mineur HWV 386a ; "Duetto da Camera "No, di voi non vo fidarmi" HWV 189 ; "Sonate en trio en si bémol majeur HWV 388" ; "Aminta e Fillide" HWV 83.
En concert en 1992 avec le Berliner Philharmoniker, le chef néerlandais couvrait un large répertoire, avec notamment l'exigeante "Symphonie n°7" en mi mineur de Gustav Mahler.
La flûtiste Naïssam Jalal aborde le jazz par la face spirituelle et mystique en intégrant le jazz improvisé aux traditions extra-occidentales, comme les dhikr arabes, les raggas indiens et les transes gnawas.
Avec la sonorité lyrique qui l'a rendu célèbre, Tigran Hamasyan revisite des standards de jazz américains des années 1920 à 1950, mêlant sonorités arméniennes et jazz.
Ce concert est un hommage à un album de Miles Davis devenu légendaire : "Tutu". Pour cette performance, Marcus Miller a invité de jeunes musiciens, comme Christian Scott et Alex Han, pour réinterpréter à ses côté le disque du célèbre trompettiste, enregistré en 1986.
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