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Stay behind, les dessous d’un mythe

En novembre 1990, l’existence belge d’une organisation de renseignement clandestine, restée secrète pendant 40 ans, est révélée au grand public. Cette organisation anti-communiste est alors notamment soupçonnée de liens avec les tueries du Brabant !

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 6 min

Le 24 octobre 1990, le Premier ministre italien Giulio Andreotti joue cartes sur table avec « son » peuple : oui, une organisation secrète, baptisée « Gladio » et chargée de lutter contre une possible invasion communiste, existe sur le territoire italien. La cellule Gladio, infiltrée par la mafia, est soupçonnée d’avoir joué un rôle sombre lors des « années de plomb », décennie marquée par un terrorisme terrible. Si l’Italie est la première nation à révéler l’existence sur son sol d’un « Stay behind », d’autres pays sont concernés, parmi lesquels la Belgique. Florian Babusiaux, titulaire d’un master en Histoire contemporaine et spécialisé dans le domaine des représentations du Stay behind en Belgique, dévoile un livre fouillé. Car le scandale italien éclabousse, peu de temps après, notre pays.

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