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Accusé d’avoir fait virer un livreur Deliveroo, le journaliste Hugo Clément réagit

Au cœur d’une polémique, l’ancien membre de l’équipe de Yann Barthès dans Quotidien a tenu à réagir sur Twitter.

Temps de lecture: 2 min

C’est une mauvaise blague qui tourne au vinaigre. Vendredi 30 mars, Hugo Clément passe commande auprès de Deliveroo. Le coursier qui s’occupe de la livraison révèle, sur Twitter, la localisation du journaliste. Au moment des faits, Hugo Clément se trouve dans les locaux de Konbini, le média pour lequel il travaille depuis son départ de « Quotidien ». Et non à son domicile.

La soupe miso de la discorde

Face à ce non-respect de la vie privée, le journaliste de 28 ans prend la mouche. Et contacte l’entreprise de livraison à domicile pour se plaindre de l’attitude du livreur en question. Le contrat de coursier de ce dernier a depuis lors été rompu « en raison du non-respect des normes de confidentialité inscrites dans le contrat de prestation liant les coursiers et Deliveroo ». L’information a été confirmée par l’entreprise de livraison au Huffington Post.

Accusé par une partie de la toile d’avoir joué un rôle dans le licenciement du livreur, Hugo Clément a fait part de sa version des événements. Il insiste notamment sur le fait qu’il avait simplement demandé à Deliveroo de prendre les mesures nécessaires pour que les tweets publiés par le coursier soient supprimés.

Récit Twitter des faits livré par Hugo Clément en personne :

De son côté, Deliveroo Belgique nous a transmis vendredi cette réaction officielle via son service de presse: «Deliveroo prend la confidentialité de toutes les données du client très au sérieux et a des politiques claires relatives au maintien d'une telle confidentialité. Toutes les parties travaillant pour ou avec Deliveroo sont liées par un contrat dans lequel elles s'engagent à respecter les normes de confidentialité que nous nous sommes engagés à garantir

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