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Vincent Cassel se lâche: «Je n’ai plus d’interdits!»

Tour à tour âpre et violent, le très documenté « L’Empereur de Paris » remet sur le devant de l’écran Vidocq, l’ex-bagnard devenu policier.

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Pourquoi cette fascination pour le milieu populaire ?

J’ai grandi dans un milieu intellectuel bourgeois. Mon père n’était pas « blindé ». Il m’a parfois mis dans des écoles qui coûtaient une fortune parce que c’était une manière de se sentir moins coupable d’avoir peu de temps pour nous. Mais, finalement, j’ai surtout beaucoup été à l’école publique. J’ai passé ma jeunesse à Montmartre. Au final, je n’ai pas fait de hautes études, je ne suis pas un féru de lecture, j’ai vu beaucoup de films, mais un peu malgré moi. Bref, ça m’a toujours plu, le côté populaire. Moi, le peuple ne me fait pas peur… (rires)

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Mais, est-ce qu’il y a des choses qui vous font peur ?

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