Accueil Actu Soirmag

Arabie saoudite: les ventes d’armes assurent de nombreux emplois en Wallonie

Entretenir une diplomatie « normale », vendre des armes à un pays qui nourrit l’islam radical sur notre sol : le piège d’Arabie saoudite s’est refermé sur la Belgique. Suite de notre enquête.

Article réservé aux abonnés
Journaliste d'investigation Temps de lecture: 7 min

Le Belgo-Marocain Fouad Belkacem a été déchu de sa nationalité belge en octobre dernier. Il se serait marié en prison, où il vit depuis bientôt six ans, pour éviter son extradition. Il était le leader du groupe terroriste Sharia4Belgium. Il s’est formé au salafisme – une vision très intégriste de l’islam – sur le Net. Un de ses proches a suivi des études religieuses en Arabie saoudite. Ensemble, ils infiltraient la communauté musulmane à Anvers et Bruxelles, mais leurs idées étaient importées d’Arabie. Comme celles de l’imam Ilias Azaouaj, l’un des premiers prédicateurs à se rendre en Syrie pour inciter des djihadistes belges à le suivre. Il s’est radicalisé auprès de trois organisations financées à Bruxelles par les Saoudiens, dont la Grande Mosquée du Cinquantenaire, via la Ligue islamique mondiale basée à La Mecque.

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

J'en profite

Aussi en Société

Voir plus d'articles

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs