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Trois questions au journaliste sportif de la RTBF, Gaëtan Vigneron

Il commente son 488e GP de F1 ce week-end à Francorchamps. Et liste « la prise de conscience environnementale » du circuit.

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Journaliste Temps de lecture: 2 min

Les sports moteurs ne sont pas des sports modèles en matière d’environnement : la F1 a-t-elle fait des progrès dans ce domaine ?

Je voudrais d’abord préciser une chose : personne de nos jours ne peut être insensible à l’environnement et au bien-être collectif. Ce serait être à côté de la plaque. Mais je fais une différence – y compris avec mes quatre enfants – entre éducation et interdiction. La F1 est une cible trop facile, victime d’une énorme caricature. Elle se préoccupe de ce problème depuis quelques années. Un règlement adopté en 2014 impose des moteurs turbo hybrides, permettant une réduction de consommation de 30 à 35 %. Les pilotes de ces bolides surpuissants doivent gérer leur consommation en course, en quantité, avec un débit régulé. Des recherches sont aussi menées avec les pétroliers sur de nouveaux carburants, synthétiques ou bio, qui profiteront demain à la voiture de Monsieur Tout-le-monde. C’est la feuille de route.

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