Quatre questions à Vincent Taloche, humoriste belge
Le 15 mars prochain, il sera sur la scène du Vaudeville pour présenter son spectacle consacré à Bourvil. Sans son frère !
Quelle est la genèse de ce spectacle ?
C’est une longue histoire ! Je suis fan absolu de Bourvil depuis que je suis tout petit. Je l’explique d’ailleurs dans le spectacle. Mon premier émoi lié à l’humour remonte à la diffusion de « La bonne planque » à la télé. Je devais avoir cinq ans. Aujourd’hui, à 50 ans, je suis toujours aussi admiratif de son talent. En 2017, la ville de Binche a fêté le centième anniversaire de sa naissance et organisait un week-end en son honneur. Un ami m’a dit que si je ne faisais rien pour cette occasion, je ne le ferais jamais. Je l’ai pris au mot et j’ai monté cette soirée, qui devait n’avoir lieu qu’une fois. Depuis, j’ai déjà repris une dizaine de fois mon spectacle. L’idée est de chanter Bourvil, mais pas uniquement des chansons drôles. Je me suis entouré de vrais musiciens.