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Gustave Kervern et Benoît Delépine: «La comédie, c’est dénoncer ses propres travers»

Avec « Effacer l’historique », le duo grolandais signe son dixième film, une fable acide contre le web et les réseaux sociaux.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Pour ce dixième film, vous invitez plusieurs de vos acteurs fétiches pour des petits rôles. Par esprit de famille ?

Benoît Delépine (B.D.) : C’est plutôt une troupe. Des gens qu’on aimait avant de les connaître, parce qu’on sentait qu’on partageait le même esprit et qu’on a aimés encore plus une fois qu’on a travaillé avec eux, et qu’on a envie de revoir. Vu les agendas de chacun, une de seules façons de se voir, c’est d’écrire des scènes pour eux et de les faire venir un jour ou deux sur le tournage.

Vous avez surtout intégré dans cette troupe de nouveaux membres de choix : Blanche Gardin, Corine Masiero et Denis Podalydès…

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