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Une «gueule» et un talent brut

La « Soirée Charles Bronson » débute à 20h50 sur Arte ce dimanche 6 décembre. Une vraie star en Europe, et plus tard seulement aux States…

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Il jalousait Steve McQueen et rêvait de la carrière de Clint Eastwood… Depuis ses débuts à Hollywood, où il est resté dans l’ombre jusqu’à la sortie des « Sept mercenaires » de John Sturges en 1960, Charles Dennis Buchinsky en a bavé. Natif de Pennsylvanie, fils d’immigrés lituaniens, il a multiplié les petits boulots avant de choisir le « rêve californien ». C’est au lendemain de la guerre – qu’il a prestée en tant que mitrailleur dans un bombardier – qu’il débarque à Hollywood où il ne trouve que des petits rôles. Son pseudo Bronson vient d’une rue proche des grands studios. Pas question de garder un patronyme évoquant les pays de l’Est en pleine guerre froide… On est en 1954, et fini donc les Buchinsky aux génériques. Après un énième personnage secondaire dans « Vera Cruz » de Robert Aldrich, c’est donc Bronson qui se distingue aux côtés d’Alan Ladd dans « L’aigle solitaire » de Delmer Daves.

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