La mort de Patrick Juvet rappelle évidemment sa période de gloire (voir notre reportage à ce sujet dans le magazine et sur le site) et ces années qui furent folles. Et bénies. Car si certaines folies pouvaient conduire vers l’abîme (Patrick Juvet en fut hélas l’une des incarnations en abusant durablement de l’alcool et des drogues dures), d’autres, plus douces, permettaient simplement de traverser le temps en s’amusant.
Être jeune dans les seventies augmentait les plaisirs liés à l’âge. On pouvait user de toutes les libertés, y compris sexuelles...