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Andy Warhol, le self made mythe

Pape du pop art, dandy de génie, il a connu bien plus que « son quart d’heure de gloire ». Un livre exubérant et destroy raconte cette superstar.

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Journaliste Temps de lecture: 6 min

Il a dynamité l’art contemporain dans le New York déchaîné des années 60. Andrew Warhola, fils chétif d’immigrés slovaques ayant grandi à Pittsburgh dans un monde ouvrier et catholique, moche comme un pou, est un jour devenu Andy Warhol au-delà de toutes ses espérances. Jean-Noël Liaut le croisa étant jeune. Après trente ans d’études, il livre sa version : fantasque, « illimythé », parfois atroce dans les vapeurs de drogue… mais aussi fabuleux dans ses créations sans aucun hasard.

Andy Warhol a-t-il tout construit de sa légende ?

C’est un personnage absolument fabriqué, peaufiné au fil des années, qui brouillait les pistes. Il s’est réinventé au point de dire qu’il était né à Hawaï et non pas à Pittsburgh. Il est le meilleur metteur en scène de lui-même. Il a voulu se créer une identité remarquable.

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