Nouveaux visages de la sorcellerie
De nombreux jeunes se tournent vers des pratiques ésotériques que l’on croyait révolues.
Véritable « Tintin » dans « Le Petit Journal » puis dans « Quotidien », Martin Weill donne à ses reportages une touche particulière, une approche moderne et dynamique. Le journaliste, à la tête d’une émission d’enquêtes qui porte son nom, se confie sur sa méthodologie de travail.
Ce reportage est dédié aux nouveaux sorciers. Quelle était la question de départ de cette enquête ?
Des études ont montré qu’il y a un nouvel essor de la pratique ésotérique. Le Covid l’a favorisé, mais cela montre également qu’il y a une véritable quête de sens. De nombreux jeunes se tournent vers ces pratiques, dont certaines que l’on pensait révolues. Ce qui était important pour nous, c’était de comprendre d’où venait ce besoin de réenchanter le monde. Dans un second temps, nous voulions aussi interpeller sur les dérives qu’il peut y avoir.