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«Presque», road-movie solaire et délicat

Devant et derrière la caméra, Bernard Campan compose avec Alexandre Jollien, son ami philosophe atteint d’athétose, un duo touchant dans une comédie douce-amère sur le vivre-ensemble.

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Journaliste Temps de lecture: 4 min

Vous êtes amis depuis près de vingt ans. Qu’est-ce qui vous a décidé à raconter aujourd’hui une histoire d’amitié qui ressemble, de près ou de loin, à la vôtre ?

Bernard Campan : De nous-mêmes, nous n’y aurions probablement pas songé ; l’idée vient du producteur Philippe Godeau, avec qui j’avais déjà réalisé mon premier film, « La face cachée ». Mon amitié avec Alexandre a d’emblée été très forte, très fusionnelle, et on avait quelque chose à vivre de ce côté avant tout : on s’appelait sans cesse, on se voyait dès qu’on pouvait et dans ce cadre, faire un film n’était pas une priorité. C’est devant l’insistance du producteur qu’on s’est décidé à passer le cap.

Vous deviez en somme parler de vous… mais sans raconter votre histoire. Comment avez-vous procédé ?

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