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Roger Michell: «La culture est là pour tout le monde, elle appartient à l’ensemble de la société»

Le réalisateur Roger Michell filme le (vrai) récit d’un quidam anonyme qui est parvenu à voler un tableau de Goya dans la National Gallery en 1961.

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D’où vous est venue l’idée de réaliser un film sur le cambriolage du Goya de la National Gallery ?

Le petit-fils de Kempton Bunton, le héros interprété dans le film par Jim Broadbent, a écrit à la productrice du film. Au départ, elle pensait que l’homme fabulait, mais après avoir vérifié la véracité des faits, elle a foncé. J’ai donc reçu un scénario de ce fait divers dont je ne savais rien. C’est très étrange, mais personne en Angleterre ne se souvient de cette histoire, alors que ça a fait un bruit énorme à l’époque. Au point d’entrer dans la culture populaire, avec un clin d’œil assumé dans « James Bond contre Docteur No » en 1962. On peut y voir le tableau accroché au mur du repaire du méchant. Quoi qu’il en soit, l’histoire était donc neuve pour moi, et les rebondissements qui structurent le scénario m’ont tenu en haleine.

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