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L’abbé Auriol, le curé empoisonneur

Un curé amoureux dans un village perdu a été condamné à la perpétuité pour un double meurtre. Coupable ou victime de la rumeur anticléricale ?

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Chroniqueur Temps de lecture: 6 min

En 1881, l’abbé Joseph Auriol, jeune curé d’un petit village catalan des Pyrénées-Orientales, défraye la chronique en entretenant des relations équivoques avec l’institutrice. Dénoncé au procureur de la République de Prades, il se voit également accusé d’avoir empoisonné les sœurs Marie et Rose Fonda. Arrêté d’abord pour outrage public à la pudeur, il sera jugé pour le double meurtre de ses paroissiennes. Malgré l’absence de traces de poison dans le corps des victimes, le curé sera condamné aux travaux forcés à perpétuité. L’abbé Auriol était-il coupable ou a-t-il été la victime d’un règlement de comptes dans ce microcosme étriqué ? Voici les faits.

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