Christian Signol: «De magnifiques bâtiments désespérément déserts»
Christian Signol, le plus célèbre des écrivains « régionaux », signe un livre coup de poing pour défendre l’école.

Votre nouveau roman, « L’école des beaux jours », raconte l’histoire d’un jeune instituteur qui se bat pour empêcher la fermeture de l’école d’un village. Vous l’avez située au temps de la IIIe République, et pourtant, c’est un sujet d’une brûlante actualité.
C’est vrai que dans nos campagnes, de magnifiques bâtiments en granit rose et en pierre de taille, faits pour durer mille ans, sont désespérément déserts. Ce triste phénomène ne cesse de s’amplifier et c’est un drame pour l’avenir de notre société.
Comment l’expliquez-vous ?