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PETA récompense «Les Gardiens de la Galaxie Vol.3»

Le film de James Gunn met notamment en scène un raton laveur et un chien, ce qui a plu à l’association de défense des animaux.

Temps de lecture: 2 min

Le film est sorti le 3 mai dernier. « Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 » vient de gagner le premier prix décerné par PETA, une association de défense des droits des animaux. En effet, le 8 mai dernier, cette dernière a décidé de récompenser le réalisateur et scénariste James Gunn en lui décernant le prix « Not a number » (« Par un numéro »). Selon PETA, le film est « un chef-d’œuvre de défense des droits des animaux ».

Sur Twitter, l’association indique : « Les Gardiens de la Galaxie Vol.3 ouvre les yeux du public sur les horreurs de l’expérimentation animale. Nous sommes fiers d’honorer le réalisateur James Gunn avec un prix « Not a Number »  ».

L’impitoyable scientifique

Il s’agit du troisième volet des Gardiens de la Galaxie. Cette fois, l’histoire tourne autour des origines de Rocket, le raton laveur. Alors qu’il n’est encore qu’un jeune raton laveur, son corps et son cerveau sont  « améliorés » par un impitoyable scientifique, « Maître de l’évolution », afin de lui faire changer sa nature.

Lisa Lange, la vice-présidente de PETA, a indiqué dans un communiqué de presse : « À travers Rocket, James Gunn a mis un visage, un prénom et une personnalité sur les millions d’animaux vulnérables qui passent par les laboratoires en ce moment même  ». Rocket n’est d’ailleurs pas le seul animal à se faire maltraiter dans le film.

Les conditions animales

Comme dans la réalité, les animaux sur lesquels le scientifique réalise des expériences possèdent des numéros d’identification. Selon PETA, ces numéros sont généralement tatoués dans une oreille ou sur la poitrine. Les conditions de vie des animaux sont également abordées dans le film. Enfermés dans de très petites cages, ils ne savent plus bouger.

Pour l’association de défense des animaux, le long-métrage illustre les animaux en tant qu’individus et « suggère que ce n’est pas parce que nous pouvons faire des expériences sur ex que nous devons le faire ».

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