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Le sens caché de vos chansons préférées: Police, «à bout de souffle»

En 1982, Sting et ses potes sortent «Every Breath You Take», une chanson qui n’est pas annonciatrice de lendemains qui chantent.

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Journaliste jusqu’à son décès en 2023 Temps de lecture: 3 min

Les paroles de ce tube planétaire, qui date de 1982, ont tout d’une belle histoire d’amour et, pourtant, rien n’est moins le cas : « Je rêve la nuit venue, je regarde autour de moi, mais c’est toi que je ne peux pas remplacer. J’ai si froid et j’attends ton étreinte. » On serait à deux doigts de penser qu’il s’agit d’une mélopée hypnotique racontant comment un homme voit son cœur brisé par les affres de celui qui a perdu les faveurs de sa belle et qui croit ne jamais devoir s’en remettre. Il y a quelques années, Sting a révélé que rien n’était moins vrai. Le leader de Police a confessé qu’il s’agissait d’un titre qui raconte l’histoire d’un stalker. Un homme jaloux et obsédé par le contrôle de la femme qu’il aime et qui cherche à tout prix à la garder sous sa coupe. Lorsqu’on lui prête une oreille attentive, les mots prennent tout leur sens : « Chaque mouvement que tu fais, chaque décision que tu prends, je te regarderai, je te regarderai. » Encore une belle chanson populaire avec des paroles hautement toxiques.

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