Uber accusée de couvrir des chauffeurs abuseurs: des femmes dénoncent
Des jeunes femmes dénoncent la passivité de la société américaine devant la multiplication des cas d’agressions sexuelles.
Article réservé aux abonnésPar Alessandra d'Angelo
Temps de lecture: 6 min
Depuis la mi-novembre, Uber est sous le feu des projecteurs. Et des critiques. Des jeunes filles accusent les chauffeurs de la compagnie de transport privé de les avoir harcelées verbalement, voire agressées sexuellement durant leur course. Les témoignages pleuvent sur les réseaux sociaux. De jeunes utilisatrices de la plate-forme racontent les agressions dont elles ont été victimes en utilisant l’application. Tout est parti, le 17 novembre dernier, du récit d’une étudiante strasbourgeoise livrant sur Twitter sa terrible mésaventure. Son histoire est devenue instantanément virale. Depuis, près d’un millier de témoignages dénonçant des faits similaires ont été publiés. Le hashtag #UberCestOver signe un gros ras-le-bol. Nous avons rencontré Anna Toumazoff, l’initiatrice du mouvement.
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