En cette crise du coronavirus, privilégions avant tout la bienveillance
L’édito de Marc Pasteger.
Le XXIe siècle, vieux de seulement 20 ans, va marquer la fin d’un monde, comme nous le constations la semaine dernière. Un autre reste à construire. Pas demain, quand tout ira peut-être mieux. Non, maintenant, tout de suite ! Il y a une urgence dont la prise de conscience doit être collective. Car, certes à des degrés divers, nous sommes tous responsables d’un immense gâchis. Par fainéantise, lâcheté ou inconscience, nous avons loupé de multiples opportunités de changer. Solidaires, nous allons donc nous serrer les coudes, avancer ensemble en apportant chacun notre pierre à l’édifice. Tous, nous avons à nous occuper du bien-être général en agissant de façon responsable jusque dans la banalité de comportements quotidiens et tellement trop ancrés dans nos habitudes. Balayons l’égoïsme qui ne mène qu’au stupide contentement de soi et soyons soucieux d’autrui.