Accueil Jacques Pradel raconte

Le parapluie bulgare

Voici un impitoyable gadget, rempli de ricine, un poison violent pour lequel on ne connaît pas d’antidote. James Bond aurait aimé !

Article réservé aux abonnés
Chroniqueur Temps de lecture: 5 min

L’univers des services secrets demeure particulièrement opaque, mais les séries télévisées et les grands films d’espionnage ont largement levé le voile de mystère concernant les innombrables gadgets que les espions sont censés utiliser pour l’accomplissement de leurs missions. Des gadgets mis au point bien sûr par les nombreux émules de Mister Q ! On parle de bagues « brise-glace », de revolvers reconstitués avec des objets apparemment innocents comme un briquet, un étui à cigarettes, des boutons de manchettes et un stylo, sans oublier les chaussures poignards à lames rétractables dans la semelle, le pistolet à grappin équipé d’un filin d’alpiniste, ou encore le téléphone cellulaire qui peut servir de matraque électrique ou d’analyseur d’empreintes digitales… L’histoire rocambolesque que je vais vous raconter maintenant n’est malheureusement pas un fantasme ni une rumeur. Même si elle rappelle les meilleurs romans de Ian Fleming…

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

J'en profite

Aussi en Jacques Pradel raconte

Voir plus d'articles

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs