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La gale est de retour

Le milieu estudiantin anversois est en proie à cette maladie parasitaire de la peau qui se propage très rapidement…

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

On la croyait éradiquée depuis le Moyen Âge. Il n’en est rien. La gale a fait son nid au sein des cercles universitaires d’Anvers et ne semble pas près de s’arrêter en si bon chemin. Il s’agit d’une des maladies parasitaires les plus contagieuses, causée par un acarien – le sarcopte de la gale – dont la taille ne dépasse pas le tiers d’un millimètre, impossible donc à repérer à l’œil nu. Alors, comment sait-on que l’on en est atteint ? « C’est très simple, sourit le Pr Dominique Tennstedt, chef émérite du service de dermatologie des Cliniques universitaires Saint-Luc. Vous vous grattez tous les soirs et durant la nuit, pas la journée et jamais dans le visage ? Votre partenaire aussi ? C’est la gale ! » Le sarcopte de la gale n’atteint que les humains. La maladie s’installe surtout à l’intérieur des poignets, sur les mains et entre les doigts, sur les aisselles et les parties génitales.

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