Jean-Pierre Foucault répond aux annonces sur son «éviction» de Miss France

Le 17 décembre prochain, à Châteauroux, se tiendra le prochain concours Miss France. Jean-Pierre Foucault est une fois de plus, attendu à l’animation de la soirée. Mais le magazine Voici avançait le vendredi 9 septembre que l’animateur aurait été « évincé à son tour » de la présentation du concours. Le magazine avance : « Bien que très apprécié du public, pour lequel il est indissociable du concours de beauté, il serait jugé trop vieux pour le programme par Alexia Laroche-Joubert, qui souhaite souffler un vent de fraîcheur sur l’institution ».

Le présentateur de 74 ans n’est pourtant pas du même avis, et assure qu’il est toujours en place, comme lorsqu’il a commencé en 1995 sur TF1. Sur l’antenne de Virgin Radio, dans l’émission du « Morning sans filtre », Jean-Pierre Foucault répond avec amusement aux rumeurs : « La première info, c’est « évincé à son tour », ce qui signifie que quelqu’un d’autre aurait été évincé alors que Sylvie Tellier et Alexia Laroche-Joubert ont toujours dit que ça s’était fait d’un commun accord, donc première erreur », explique-t-il dans un premier temps. Il ajoute ensuite : « Deuxième chose importante pour Voici, et je tiens franchement à les féliciter, c’est que ça fait dix ans qu’ils annoncent que je vais faire ma dernière présentation à Miss France. Donc, un jour ou l’autre, ils auront raison ».

Ces affirmations du magazine, apparement erronées, font suite aux récentes déclarations du présentateur qui expliquait se retirer progressivement de la télévision. Cependant, Jean-Pierre Foucault n’a pas encore la confirmation de son retour pour cette édition de Miss France. Il déclare pourtant : « Nous travaillons dans un monde de gens bien élevés et, si cela avait été le cas, j’en aurais été informé de la part de la société Miss France et de la part de TF1 ». « Je n’en sais rien, chaque année nous décidons d’un commun accord et mon actualité est de présenter Miss France 2023 à Châteauroux. Il est encore un peu tôt pour parler de ce qu’il se passera dans un ou deux ans », ajoute-t-il avant de conclure avec humour : « dans 20 ans, ce ne sera moi ».