Paul El Kharrat tacle Jean-Luc Reichmann et «Les 12 Coups de midi»
L’un des plus grands champions du jeu est revenu sur cette période de sa vie, non sans aigreur à l’intention de présentateur mais surtout du jeu.
Paul El Kharrat officie désormais à la radio dans « Grosses Têtes » sur RTL. Mais c’est grâce aux « 12 Coups de midi » qu’il s’est d’abord illustré, en devenant l’un des plus grands champions du jeu. Il avait fait de très beaux scores en participant 153 fois et en remportant la coquette somme de 691.522 euros.
S’il reconnaît volontiers que l’émission lui a « changé la vie », il reste cependant critique dans un entretien pour Téléstar. Le jeune vient de publier un livre « Bienvenue dans mon monde : moi, Paul, autiste Asperger », dans lequel il explique également son sentiment réel sur cette période.
L’entretien, à sortir le 24 octobre prochain, donne un avant-goût des positions de Paul El Kharrat. Il y déclare n’être ami qu’avec lui-même et ajoute : « Pourquoi serais-je ami avec Jean-Luc Reichmann ? Cela fait près d’un an qu’on ne s’adresse plus la parole pour toutes sortes de raisons que je ne dévoilerai pas. Je n’ai pas de contacts ni directs ni privilégiés avec cet homme ».
Une pseudo-famille pathétique
À propos des « 12 Coups de Midi », le désormais chroniqueur n’est pas tendre, au contraire : « C’était une pseudo-famille pathétique, un semblant de bon relationnel entre individus. Une sorte d’hypocrisie sociétale. On n’est pas sur la piste de la rédemption, en effet. Je n’ai pas envie de faire un pas de plus vers un individu qui m’a agacé pour des raisons que je préfère taire », explique-t-il.
Il précise également qu’il ne participerait plus aux éditions spéciales. Les rumeurs circulent depuis quelque temps sur une altercation entre Paul El Kharrat et quelqu’un de l’équipe. Il préfère cependant taire ce point. Cependant, il ne regrette pas son passage pour autant et s’inscrit vers l’avenir, notamment avec son poste aux « Grosses Têtes ». Il déclare d’ailleurs à propos de Laurent Ruquier : « Tout cela m’a permis d’avoir avec Laurent Ruquier des rapprochements que je n’ai jamais eus avec Jean-Luc Reichmann, avec qui nous n’avons jamais quitté le rapport animateur-élève ».
