Michel Denisot se moque du rachat de Twitter par Elon Musk
Il n’a peur de rien. Le journaliste et présentateur télé n’a pas froid aux yeux et tourne en dérision le rachat de Twitter par Elon Musk sur le réseau social.
Cela fait un petit moment que le journaliste, présentateur télé et ancien dirigeant du PSG, Michel Denisot a enfilé la casquette d’humoriste sur Twitter. Sa boutade du jour ? Une blague concernant le rachat de Twitter par Elon Musk. Audacieux de se moquer du nouveau patron de Twitter… sur Twitter.
Dans une publication postée sur la plateforme, l’homme de 77 ans, a écrit l’énigmatique phrase : « #Test @elonmusk est un blaireau. ». Par ce message, Denisot teste surtout l’autodérision d’Elon Musk. L’homme acceptera-t-il la controverse sur un réseau social qui lui appartient désormais ?
Elon Musk rachète Twitter pour 44 milliards de dollars
En effet, Elon Musk a conclu l’acquisition du réseau social jeudi soir et prévoit d’assumer le rôle de directeur général de Twitter Inc. Une fonction qui s’ajoute à celle qu’il endosse au sein de Tesla, SpaceX, et d’autres entreprises. Le rachat aurait été effectué à son prix d’offre initial de 54,20 dollars par action, pour un coût total d’environ 44 milliards de dollars.
Aux commandes, Musk a déjà prévu de réorganiser l’entreprise et de réduire ses effectifs. Il semblerait d’ailleurs que les premiers licenciements aient déjà eu lieu. Plusieurs médias rapportent que certains dirigeants de la société ont déjà été virés. Il se serait séparé d’au moins quatre cadres. Il y a quelques jours, Musk avait déclaré qu’il souhaitait licencier 75 % du personnel travaillant actuellement pour la marque à l’oiseau bleu. Après le tollé provoqué par cette information, il est ensuite très rapidement revenu sur sa déclaration. Toutefois, le licenciement des quatre cadres n’est pas rassurant pour les employés restants de Twitter.
Selon les documents réglementaires qui encadrent le rachat, les hauts dirigeants licenciés recevront un certain montant d’indemnités de départ et une accélération automatique de leurs actions. Le PDG Agrawal devrait recevoir le plus gros paiement, environ 38,7 millions de dollars, en grande partie parce que la totalité de ses actions ont été acquises au moment de son licenciement.
