Cyril Hanouna persiste et réclame la suppression de certaines fréquences radio (vidéo)
Lundi dernier, Cyril Hanouna estimait que la télévision et la radio publique française percevaient trop d’argent. Une remarque qui avait provoqué un tollé. Hier soir, l’animateur a insisté de nouveau sur ses propos.
Cyril Hanouna persiste et signe. L’animateur de « Touche pas à mon poste » s’est agacé en début de semaine de voir que le service public de télévision et de radio touchait 3,8 millions d’euros de la part de l’État. Des propos qui ont rapidement provoqué une levée de boucliers venant de journalistes de France Télévisions.
Mardi 17 janvier, lors de son émission, Cyril Hanouna a insisté, selon lui, le service public est trop financé mais il a également ajouté que c’était Radio France qui lui pose le plus problème.
« Hier, j’avais dit que l’État donnait 4 milliards d’euros pour le service public par an, mais tout le monde a retenu France télévisions. (…) Mais France télévisions à la limite, ils ne me dérangent pas, j’adore Delphine Ernotte, la patronne de France télévisions », a-t-il déclaré.
« Ce qui me dérange et vous le savez, c’est Radio France. Radio France, France inter qui sont en train tous les mois… ils font des trucs sur leurs audiences ! Heureusement qu’ils font de l’audience ils n’ont pas de pub ! France inter ils se targuent d’être devant RTL, c’est normal ils n’ont pas de pub. Nous si on enlève toutes les pubs on est devant TF1 », ajoute-t-il encore.
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Il continue en listant les radios qu’il aimerait encore écouter ou non : « Alors moi France bleu, j’adore, c’est super. Ça, il faut garder. France info aussi. Le reste, il faut voir, mais vous vous rendez compte, sept radios du service public c’est 650 millions d’euros par an ».
Le Huffpost souligne que le patron de la chaîne, Vincent Bolloré, est également celui d’Europe 1, en concurrence avec les radios publiques. La radio fait face depuis une dizaine d’années, à des problèmes récurrents de baisse d’audience.
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