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Aurélie Djian: «J’ai eu envie d’explorer les rapports de ce triangle amoureux»

Un roman puissant questionnant la féminité et la transmission, sous la plume incisive d’Aurélie Djian.

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Journaliste au Soirmag Temps de lecture: 3 min

C’est l’histoire de trois générations de femmes : la narratrice, sa maman Reine et sa grand-mère Rose. La première essaie de trouver sa place en tant que femme et par rapport aux hommes, entre deux aînées puissantes et les blessures familiales. Si Rose est romantique et solaire, Reine, quant à elle, est plus intransigeante et obsédée par sa splendeur.

Quel sentiment vous a poussée à écrire ce premier roman ?

Difficile à dire… Je l’ai fini en juin 2020 mais j’ai mis trois ans à l’écrire. Je dirais que la notion de départ était la reconstruction. C’est un livre que je n’avais pas envie d’écrire mais j’ai eu le sentiment qu’il fallait que je m’y colle. J’ai beaucoup résisté.

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