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«The Voice»: les premières tensions entre Bigflo et Oli apparaissent (vidéo)

Les deux frères partagent un siège pour cette saison de « The Voice », une première qui nécessite des petits aménagements.

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Samedi 4 mars se déroulait le second volet des auditions de « The Voice ». De nombreux candidats se sont présentés dont cette chanteuse ukrainienne qui a tenu à rendre hommage à son pays lors de son passage. Ce fut aussi l’occasion pour les deux frères, Bigflo et Oli de tester leur patience.

Les deux hommes qui ont admis participer à l’émission en tant que jury pour découvrir de nouveaux talents, doivent partager leur siège et leur buzzer. Mais samedi soir, ils ont eu du mal à s’accorder. Alors qu’un groupe gipsy passait sur scène, l’aîné a décidé de buzzer sans se concerter avec son frère.

Le groupe Los Malunos a interprété le titre « Le Temps » de Tayc. Rapidement, Bigflo a été accroché par le style, Oli, beaucoup moins. Un débat se lance entre les deux jeunes hommes : « Vocalement, ce n’est pas ouf. La proposition est dingue mais… », relève Oli, avant d’ajouter : « J’ai envie de buzzer parce que je kiffe trop ça mais techniquement ». Il insiste encore : « On ne peut pas, ce n’est pas au niveau des autres vocalement ».

Bigflo écoute surtout son cœur et lance : « Pour moi, c’est oui. Par rapport à papa, pour l’histoire, pour le kiffe » avant d’appuyer sur le buzzer.

Les frères tentent de s’expliquer

Le fauteuil se retourne et Bigflo réalise qu’il a été tout seul dans ce choix. Il explique alors au groupe : « Salut les gars, on doit juste faire un débrief de frères et on revient vers vous, OK  ? ». Oli répond : « Mais là, par contre frérot, j’ai passé un bon moment, on va leur expliquer, mais préviens ! Viens, on discute sinon c’est une malédiction. On est comme des frères siamois. On a que deux bras pour quatre, enfin qu’une main pour deux personnes ».

Bigflo essaie de se justifier et assure qu’il a pris la décision par rapport à leur père. « Tu sais que papa va regarder toutes les émissions », ajoute-t-il. « Ah, tu as juste peur de papa ? », rétorque Oli. « Non, je n’ai pas peur de papa. Il va nous dire : « Mais putain, pourquoi vous n’avez pas appuyé pour les quatre mecs, c’était génial ! » », se justifie-t-il.

Il a ensuite tenu à s’expliquer auprès du groupe : « J’ai buzzé parce que j’ai trop d’affect avec toute cette culture-là, avec toute cette musique-là. Les gens de chez vous, notre daron nous a beaucoup présenté des gens de là-bas, on a grandi un peu dans cet univers-là. L’univers flamenco n’est pas très loin du côté argentin. On a beaucoup de famille en Espagne. C’était trop dans ma tête. J’avais vraiment mes ancêtres dans ma tête qui me regardaient en mode : « Si tu n’appuies pas là, on te déshérite » ».

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