Élise Costa: «Le mal absolu n’existe pas»

Dans son livre « Les nuits que l’on choisit », elle écrit : « L’institution judiciaire déploie une énergie phénoménale à célébrer la justice comme un aboutissement de l’évolution de notre espèce. (…) Tout fait sens. Peut-être que le sublime ressemble à ça. » Depuis, cette passionnée écume les procès les plus médiatiques et retranscrit ce qu’elle y voit, ce que ça lui apprend de la société et de ceux qui la composent.

Vous avez eu un coup de foudre pour la justice mais elle vous a déjà déçue aussi, comme dans l’affaire Laurent Dejean, condamné « sans aucune certitude » pour avoir tué une joggeuse dans le Tarn…