Un ancien candidat de «The Voice» annonce être malade: «Je n’ai plus que cinq ans à vivre»
L’homme de 32 ans a participé à la version flamande de « The Voice ».
Simon Vaernewyck a participé à la version flamande de « The Voice » en 2016. Le candidat, passionné de musique avait réussi à s’imposer assez loin dans la compétition avant d’être éliminé. Il faisait partie de l’équipe de Koen Wauters. Quelques années après sa participation, il a découvert être très malade. À Nieuwsblad, il explique la découverte de son cancer, à seulement 32 ans.
L’été passé, Simon Vaernewyck travaillait dans la restauration quand son patron l’a forcé à voir un médecin. L’ancien candidat se plaignait en effet de fréquentes douleurs dans les côtes. Dans un premier temps, son médecin ne pense pas au cancer : « Il pensait que j’avais des calculs rénaux ». Mais il est tout de même invité à passer une échographie.
Avant même le rendez-vous, Simon décide plutôt de se rendre aux urgences : « Le dimanche, je me suis retrouvé aux urgences. J’avais trop mal et beaucoup de fièvre… Les médecins m’ont annoncé que j’avais un cancer du rein avec des métastases dans les poumons. Ils m’ont dit que j’étais au stade quatre, en phase terminale. J’étais incurable… », déclare-t-il.
Un père de famille optimiste
L’homme, père de famille, est très atteint par la maladie mais ne veut pas le reconnaître tout de suite. Ses médecins lui annoncent pourtant qu’il ne lui reste que trois mois à vivre. « Le médecin m’a dit que je sous-estimais la situation. « Vous devez vous rendre rendez compte que c’est la dernière étape de votre vie », m’a-t-il dit. Je pense que mon optimisme m’a empêché d’accepter la nouvelle. Finalement, c’est devenu évident. Mon corps a lutté avec acharnement contre le cancer. En trois mois, j’ai perdu 25 kilos », se souvient-il.
Aujourd’hui, Simon Vaernewyck défie les pronostics mais la situation n’est pas meilleure. Dernièrement, ses médecins ont décelé une nouvelle tumeur dans son poumon droit. Son espérance de vie a été réévaluée et est estimée à cinq ans. « Mais je reste optimiste. L’idée est de lutter le plus longtemps possible. Supposons que l’on me donne encore cinq ans dans cinq ans, qui sait si d’ici là il n’y aura pas un nouveau médicament ou une nouvelle thérapie pour me guérir », assure Simon Vaernewyck avec espoir.
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