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L’affaire de l’«empoisonneuse» Marie Besnard

« L’empoisonneuse », « la diabolique de Loudun », sera finalement acquittée après une saga judiciaire hors norme.

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Chroniqueur Temps de lecture: 7 min

Le 16 octobre 1947, Marie Besnard et son mari Léon, un artisan cordelier de 53 ans, partagent un rapide repas champêtre dans la ferme des Libouraux, à 85 km de Loudun. Sont présents des cousins de Marie qui viennent de reprendre la ferme en viager, sa mère, Marie-Louise, Alphonse Baraudon et son épouse, un couple qui gère l’hôtel du Cheval Blanc de Loudun, hôtel qui appartient à madame Besnard, et un garçon de ferme d’origine allemande, Ady, qui s’occupe des menus travaux. Ils sont venus passer quelques jours à la ferme, comme chaque année à l’occasion des moissons et des vendanges…

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