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Bouli Lanners: «J’ai envie de nouvelles choses»

Le Belge taquine le marché de l’art dans « Un coup de maître ».

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Quand un peintre aigri et « has been » devient la coqueluche des galeries, c’est tout le milieu de l’art contemporain qui s’agite ! L’occasion pour Bouli Lanners d’enfin jouer un peintre, lui qui était passé par les bancs de l’Académie des Beaux-Arts de Liège avant de se lancer dans le cinéma.

C’est la première fois que vous jouez un peintre, non ?

Absolument ! C’est une des raisons qui m’ont motivé à dire oui. Je me suis tellement bien senti dans ce super atelier à Bruxelles, où je pouvais peindre entre les prises. Il y avait tout le matos, je me le suis totalement approprié. J’étais aussi ravi de retrouver mon ami Vincent Macaigne (dans le rôle de son galeriste, ndlr) et de me jeter dans le cinéma de Rémi (Bezançon, le réalisateur, ndlr), dont j’aime beaucoup les films.

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