Kim Kardashian n’a pas abîmé la robe de Marilyn Monroe lors du Met Gala (photos)
Depuis le Met Gala, un collectionneur accusait Kim Kardashian d’avoir abîmé la fameuse robe de Marilyn Monroe, durant la soirée. Le musée qui a prêté la robe assure que ce n’est pas le cas.
Voilà des semaines que la polémique perdure. Depuis le Met Gala, Scott Fortner, un collectionneur, reproche à Kim Kardashian d’avoir abîmé la robe moulante de Marilyn Monroe. La tenue, ornée de 6.000 cristaux est considérée par certains comme faisant partie du patrimoine américain. Elle a été portée par l’actrice pour chanter le fameux « Happy Birthday Mr President » en 1962, pour les 45 ans du président John F. Kennedy.
Kim Kardashian s’est vue offrir la possibilité par le musée Ripley’s, de porter la robe lors de la soirée du Metropolitan Museum de New York. Le musée a déclaré dans un communiqué : « Kim Kardashian a été vivement critiquée pour avoir porté la robe de « Happy Birthday » mais le fait est qu’elle n’a en aucune façon endommagé le vêtement durant le peu de temps qu’il a été porté au gala du Met ».
Selon le collectionneur, des photos venaient attester des dégâts « irrémédiables », causés sur la robe. Sur les réseaux sociaux, les photos ont circulé et alimenté la polémique. On y voit des déchirures et des cristaux manquant ou sur le point de tomber. Le musée Ripley’s, qui a acheté la robe en 2017 pour 4,8 millions de dollars, assure pourtant que ces dégâts étaient présents au moment de l’achat. « Un certain nombre de coutures sont tirées et usées. Ce n’est pas surprenant étant donné la délicatesse du matériau. Il y a des plis à l’arrière, près des crochets et des œillets », précise le communiqué.
D’autant plus que Kim Kardashian n’a porté la robe que le temps de la montée des marches. La star avait dû demander de l’aide pour monter les marches. Une fois en haut, elle s’est vite éclipsée pour enlever la robe et enfiler une autre tenue. Amanda Joiner, vice-présidente de Ripley’s vient également au secours de Kim Kardashian. Elle est restée à côté de la robe toute la journée et assure que « d u bas des marches du Met, où Kim a passé la robe, jusqu’en haut où elle a été restituée, la robe était dans le même état ».
Cette polémique ouvre également le débat sur la façon dont est traité le souvenir de Marilyn Monroe aux États-Unis. Souvent moquée et laissée à elle-même pendant son vivant, elle est désormais saluée comme une icone depuis sa mort.