B.J. Scott, en toute simplicité
Avant de retrouver le fauteuil rouge de « The Voice », la plus belge des Américaines se lance dans une tournée de concerts intimistes et chaleureux.


Vous nourrissez ce projet de tournée, en duo avec le musicien Mel Knapp, depuis des années. Quel fut le déclic ?
Je suis son travail depuis longtemps. Et lui, le mien. Nous nous admirions mutuellement de loin. Nous nous sommes retrouvés dans un festival d’auteurs-compositeurs, où nous avons joué en duo et là, ça a été une évidence : nous devions travailler ensemble. Je voulais surtout qu’il vienne jouer en Europe, que le public le découvre. Hélas !, la pandémie a tout mis à l’arrêt. Aujourd’hui, le projet existe, et même plus fort qu’avant : on a plus de dates, plus de demandes aussi…
Avez-vous le sentiment que depuis la fin de la crise sanitaire, le public est plus en demande que jamais de voir des artistes sur scène ?